|
|
  |
 |
  
  
  
|
qui
se tient sur les lèvres, 2004
|
Environnement
architectural, audio et vidéo. Panneaux de fibre de pin, moniteur
vidéo, lecteur DVD, lecteurs CD, enceintes acoustiques.
8.5 X 8.5 X 2.43 m. (28 X28 X8’).
Construction en forme de dédale ouvert.
On peut y entendre des voix chuchotant une suite de verbes à l'infinitif
et d'autres, des verbes conjugués précédés par le
pronom « qui » :
qui semble, qui entend, qui est, qui ne perçoit pas, qui ne sait reconnaître.
Au centre de l'œuvre, se trouve une image vidéo de mains longeant
les parois du dédale. La trame sonore est synchronisée avec les
composantes visuelles de l'image d'après un langage relié aux différentes
perceptions sensorielles qui se regroupent ainsi le mouvement en stéréo
des mains, la surface des murs touchés, les divers éclairages sous
lesquels les mains évoluent, les volumes architecturaux (parois, joints,
arêtes).
Chacun de ces langages est établi à partir de registres sonores
particuliers dont une bonne part est obtenue par diverses manipulations de papier
(un seul plan-séquence de 12.34 min. en boucle).
Présenté en 2004, au Musée national des beaux-arts du Québec
dans l'exposition collective Avancer dans le brouillard,
commissaire : Anne-Marie Ninacs.
Collection de la Ville de Montréal
(bande vidéo)
|
Photos prises
au Musée national
des Beaux-arts du Québec, Québec. Crédits photos :
Patrick Altman (environnement, maquette) et Claire Savoie
(photos de la bande vidéo).
 |
|
|
|